A l’instar des grands pays à forte croissance économique, le Maroc est devenu incontestablement le pays le plus convoité des investisseurs du monde. Les derniers constats en disent long. Secoué, ces derniers temps par le vent de la révolution qui a soufflé pratiquement dans toute la région du Nord, le Maroc parvient, cependant, à faire asseoir une bonne stratégie de développement au plan social et à consolider sa politique gouvernementale. Les récentes réformes engagées par le roi Mohamed VI témoignent de son intérêt à booster le royaume vers une modernité des grandes ambitions. 75e mondial en compétitivité touristique, ce pays retrouve les attributs des grandes villes, la plus visitée dans le Maghreb Islamique.
Investissant dans le secteur industriel déjà florissant, le Maroc plus que jamais consacre une bonne partie de ses projets de développement aux infrastructures routières et aux gigantesques centres commerciaux favorables à son émergence. Avec une croissance économique en phase avec les attentes de l’heure, il raffermit davantage l’environnement des affaires qui passe aussi et surtout par l'amélioration des voies de communication. Le transport en commun reste une panacée indéniable face aux enjeux pourvoyeurs de richesse de cette contrée d’Afrique. En fait, le royaume dispose désormais d’un grand réseau routier de tramway inter-urbain, une innovation qui le place sur orbite dans le concert des pays les plus développés du continent.
D’un coût global de 6.4 milliards de dirhams, l’investissement de rabat-salé vient à point nommé renforcer les lignes de transport existantes déjà. Sur toute l’étendue du territoire, ce nouveau moyen de transport force d’admiration de plus d’uns. Il a été mis en service officiellement le 15 Juin dernier et aura généré plus de 4.000 emplois directs et indirects. Pour Joël Lebreton, président-directeur général du groupe Transdev ayant en charge le projet, « la solution tramway propose une réponse moderne et écologiques aux problèmes de transport auxquels sont confrontées les grandes villes marocaines, et plus généralement africaines ».
A l’instar des grands pays à forte croissance économique, le Maroc est devenu incontestablement le pays le plus convoité des investisseurs du monde. Les derniers constats en disent long. Secoué, ces derniers temps par le vent de la révolution qui a soufflé pratiquement dans toute la région du Nord, le Maroc parvient, cependant, à faire asseoir une bonne stratégie de développement au plan social et à consolider sa politique gouvernementale. Les récentes réformes engagées par le roi Mohamed VI témoignent de son intérêt à booster le royaume vers une modernité des grandes ambitions. 75e mondial en compétitivité touristique, ce pays retrouve les attributs des grandes villes, la plus visitée dans le Maghreb Islamique.
Investissant dans le secteur industriel déjà florissant, le Maroc plus que jamais consacre une bonne partie de ses projets de développement aux infrastructures routières et aux gigantesques centres commerciaux favorables à son émergence. Avec une croissance économique en phase avec les attentes de l’heure, il raffermit davantage l’environnement des affaires qui passe aussi et surtout par l'amélioration des voies de communication. Le transport en commun reste une panacée indéniable face aux enjeux pourvoyeurs de richesse de cette contrée d’Afrique. En fait, le royaume dispose désormais d’un grand réseau routier de tramway inter-urbain, une innovation qui le place sur orbite dans le concert des pays les plus développés du continent.
D’un coût global de 6.4 milliards de dirhams, l’investissement de rabat-salé vient à point nommé renforcer les lignes de transport existantes déjà. Sur toute l’étendue du territoire, ce nouveau moyen de transport force d’admiration de plus d’uns. Il a été mis en service officiellement le 15 Juin dernier et aura généré plus de 4.000 emplois directs et indirects. Pour Joël Lebreton, président-directeur général du groupe Transdev ayant en charge le projet, « la solution tramway propose une réponse moderne et écologiques aux problèmes de transport auxquels sont confrontées les grandes villes marocaines, et plus généralement africaines ».