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30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 14:47

DSK et Anne Sinclair séparés? 

La rumeur bruissait depuis plusieurs mois...Selon l'agence Reuters, qui cite un proche de DSK, l'ancien directeur du FMI et son épouse, Anne Sinclair, seraient séparés depuis un mois environ. Le magazine people Close affirme de son côté que la directrice éditoriale de Huffington Post aurait demandé à son époux de quitter le domicile conjugal, place des Vosges, à Paris. Après un bref séjour à l'hôtel, il habiterait désormais dans l'appartement d'un ami, dans le 16è arrondissement de la capitale. Le 5 Juin dernier, la journaliste était apparue seule à l'avant-première du documentaire de Bernard Henri.Levy, le serment de Tobrouk. Selon un des proches de DSK, qui s'est confié à Paris Match, DSK serait "démoli", "déprimé".

Mariés depuis 1991, le couple avait affronté ensemble, plusieurs tempêtes médiatiques. Anne Sinclair avait soutenu son mari lorsque l'affaire du Sofitel de New York éclata, le 14 mai 2011, puis lors de l'affaire du Carlton de Lille. DSK et son épouse ont annoncé, vendredi 29 juin, qu'ils attaquaient Closer, pour "atteinte à la vie privée".

 

 

 

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17 juin 2012 7 17 /06 /juin /2012 21:15

423382 3143362181121 291112340 n    A l’instar des grands pays à forte croissance économique, le Maroc est devenu incontestablement le pays le plus convoité des investisseurs du monde. Les derniers constats en disent long. Secoué, ces derniers temps par le vent  de la révolution qui a soufflé pratiquement dans toute la région du Nord, le Maroc parvient, cependant, à faire asseoir une bonne stratégie de développement au plan social et à consolider sa politique gouvernementale. Les récentes réformes engagées par le roi Mohamed VI témoignent de son intérêt à booster le royaume vers une modernité des grandes ambitions. 75e  mondial en compétitivité touristique, ce pays retrouve les attributs des grandes villes, la plus visitée dans le Maghreb Islamique.      

    Investissant dans le  secteur  industriel déjà florissant, le Maroc plus que jamais consacre une bonne partie de ses projets de développement aux infrastructures routières et aux gigantesques centres commerciaux favorables à son émergence. Avec une croissance économique en phase avec les attentes de l’heure, il raffermit davantage l’environnement des affaires qui passe aussi et surtout par l'amélioration des voies de communication. Le transport en commun reste une panacée indéniable face aux enjeux pourvoyeurs de richesse de cette contrée d’Afrique. En fait, le royaume dispose désormais d’un grand réseau routier de tramway inter-urbain, une innovation qui le place sur orbite dans le concert des pays les plus développés du continent.

    D’un coût global de 6.4 milliards de dirhams, l’investissement de rabat-salé vient à point nommé renforcer les lignes de transport existantes déjà. Sur toute l’étendue du territoire, ce nouveau moyen de transport force d’admiration de plus d’uns. Il a été mis en service officiellement le 15 Juin dernier et aura généré plus de 4.000 emplois directs et indirects. Pour Joël Lebreton, président-directeur général du groupe Transdev ayant en charge le projet, « la solution tramway propose une réponse moderne et écologiques aux problèmes de transport auxquels sont confrontées les grandes villes marocaines, et plus généralement africaines ».

 

     A l’instar des grands pays à forte croissance économique, le Maroc est devenu incontestablement le pays le plus convoité des investisseurs du monde. Les derniers constats en disent long. Secoué, ces derniers temps par le vent  de la révolution qui a soufflé pratiquement dans toute la région du Nord, le Maroc parvient, cependant, à faire asseoir une bonne stratégie de développement au plan social et à consolider sa politique gouvernementale. Les récentes réformes engagées par le roi Mohamed VI témoignent de son intérêt à booster le royaume vers une modernité des grandes ambitions. 75e  mondial en compétitivité touristique, ce pays retrouve les attributs des grandes villes, la plus visitée dans le Maghreb Islamique.      

    Investissant dans le  secteur  industriel déjà florissant, le Maroc plus que jamais consacre une bonne partie de ses projets de développement aux infrastructures routières et aux gigantesques centres commerciaux favorables à son émergence. Avec une croissance économique en phase avec les attentes de l’heure, il raffermit davantage l’environnement des affaires qui passe aussi et surtout par l'amélioration des voies de communication. Le transport en commun reste une panacée indéniable face aux enjeux pourvoyeurs de richesse de cette contrée d’Afrique. En fait, le royaume dispose désormais d’un grand réseau routier de tramway inter-urbain, une innovation qui le place sur orbite dans le concert des pays les plus développés du continent.

    D’un coût global de 6.4 milliards de dirhams, l’investissement de rabat-salé vient à point nommé renforcer les lignes de transport existantes déjà. Sur toute l’étendue du territoire, ce nouveau moyen de transport force d’admiration de plus d’uns. Il a été mis en service officiellement le 15 Juin dernier et aura généré plus de 4.000 emplois directs et indirects. Pour Joël Lebreton, président-directeur général du groupe Transdev ayant en charge le projet, « la solution tramway propose une réponse moderne et écologiques aux problèmes de transport auxquels sont confrontées les grandes villes marocaines, et plus généralement africaines ».

 

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3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 01:22

 L'érection du statut de la renaissance africaine serait la pomme de discorde qui est venue en rajouter à la descente aux enfers du président Wade dont la côte de popularité a considérablement baissé, selon l'opposition. Même l'annonce de la date du prochain scrutin fixée au 26 février 2012, en dépit des nombreux reports des élections pour conserver le pouvoir, par le président sénégalais n'a pas suffi pour passer l'éponge sur les critiques liées à sa gestion du pouvoir et des finances publiques dont le point d'orgue est le financement du statut dit symbole de l'unité africaine qui aura coûté près de 30 milliards de FCFA.Une véritable gabegie au sommet de l'état qui constitue l'un des indicateurs de mauvaise gestion de Me Abdoulaye Wade pourtant décrié pendant ses dix ans de pouvoir au moment où des milliers de sénégalais meurent de faim. De toute façon son projet de référendum n'aurait pas acquis l'adhésion de tout son peuple. la bataille s'annonce très rude pour lui quand on sait que l'opposition s'apprête pour une alternance crédible au pouvoir. Il réclame déjà son départ pour l'instauration d'une vraie démocratie dans ce pays où la question de l'emploi reste un casse tête pour les jeunes. l'Afrique est ce continent-là qui ne connait pas véritablement des priorités. L'on doit montrer la voie à nos dirigeants africains, affirme une thuriféraire du régime qui déplore le processus ayant conduit à la renaissance. Pour lui, les étapes sont quasiment brûlées. 30 milliards pour ériger un statut dit symbole de l'unité africaine dans un pays où la situation sociale devient de plus en plus criarde, constitue un manque de volonté politique, dénonce un membre de l'opposition.

 

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12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 00:45

Consolidation de l’approche par compétence en milieu ouest africain

 

Le Maroc prête main forte au Bénin

 

« Le vent de la mondialisation apporte tout son arsenal aux pays à faible croissance de développement. Un état d’esprit mais aussi un essor pour la renaissance africaine. »    

 

 

  Sostène DEPORTO

 

La locomotive mise en route par le gouvernement du Dr Boni YAYA pour l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement est bien sur de bonnes orbites. Il aurait fallu environ 31 ans après l’indépendance pour que le Bénin parvienne à gagner l’estime du Maroc, aujourd’hui un model dans la modernisation et la synergie de ressources humaines qualifiées pour l’émergence de son pays. Une expertise que plusieurs pays voisins et même de l’interland convoitent et d’ores et déjà une charte de convention d’échange en intelligence économique a été établie. Celle-ci vise à donner aux pays amis au royaume les armes nécessaires pour mieux assurer leur autonomie dans les secteurs clés pourvoyeurs de richesses. Parmi ces pays, Le Bénin affranchi déjà le cap de sa politique de croissance à 2 chiffres avant 2015 à travers la coopération Maroco-béninoise axée sur le renforcement de capacité. L’accord de rabat 1991 signé avec le régime défunt de l’ex président du Bénin, Mathieu KEREKOU est en sa phase de concrétisation et même au-delà des attentes  de refondation qui se veut pour le pays. La promotion de l’excellence et la redynamisation de la machine scientifique sont aujourd’hui, plus qu’une priorité pour l’état béninois. A l’affiche, les  bourses d’étude octroyées au Bénin par le Maroc ces derniers temps ont doublé de chiffres. Elles prennent en compte les domaines d’ingénierie, d’agronomie, la défense nationale et la médecine, un secteur aussi important dont il faut pallier  le paradoxe qui s’y impose quand on sait que les grandes compétences en médecine dont dispose le pays sont encore à l’extérieur. Pour accompagner la plate- forme politique béninoise dans le domaine de l’approche par compétence et mieux aiguiser les relations bilatérales en ce qui concerne l’investissement au Bénin, le Maroc à l’issue de la visite de sa majesté, le roi effectuée à Cotonou les 15 et 16 Juin 2004  dernier, a décidé de mettre  à la disposition du pays tout son arsenal socio-économique. Un élan fort symbolique de précurseur  sur lequel le président YAYI Boni focalise son ambition d’alphabétisation. Atteindre avant 2015 un taux considérable de cadres bien formés pour mener à terme ses projets de reconstruction du pays. Pour le cas du royaume, le Bénin aura bénéficié d’ici 2011 environ 500 cadres, médecins spécialistes civils et militaires, ingénieurs et agronomes qui sans doute joueront un rôle prépondérant dans le développement de cette nation. Le retour des compétences reste un cheval de bataille pour le Président en exercice. En dehors des relations scientifiques apparemment au beau fixe, le Bénin éprouve la nécessité de l’implantation d’une représentation diplomatique marocaine pour mieux affermir la coopération de développement entre les deux pays. A l’actif déjà du pays, la ratification de l’accord d’éligibilité à l’initiative marocaine et concerne le commerce et l’investissement. Ce pays reste le premier fournisseur africain du Maroc en coton.        

 

 

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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 23:46

L’auto suffisance alimentaire au Bénin

Une ambition tuée dans l’œuf

« L’un des grands désastres au plan social qui décime aujourd’hui  l’ancienne colonie Française, le Bénin,  figure en grande partie dans sa stratégie agricole horizon 2015. Un secteur complètement dans l’impasse malgré des milliards éjectés pour son redressement. »

 

 Sostène DEPORTO

Entamée déjà dès 2007 sur l’ensemble du territoire national béninois, des émeutes contre la vie chère, les « émeutes de faim » qui expliquent la colère populaire contre la hausse des prix des denrées de première nécessité de plus en plus rares. Malgré son régime agricole statique et compétitif au développement du pays, le Bénin avec la crise alimentaire mondiale ces dernières années a perdu le contrôle  de sa stabilité agroalimentaire. Il se retrouve aujourd’hui à la croisée des chemins pour son élan du grenier d’Afrique qu’on lui connait après les indépendances avec à la clé  une parfaite régulation du marché difficilement à la hauteur des attentes de l’heure. La vision de mécanisation pour la relance de l’agriculture au service de la croissance alimentaire prônée par le chef de l’état a été un élément déclencheur pour booster ce secteur mais des problèmes subsistent encore. Lesquels sont liés directement à des réformes en cours qui sans doute sont éclaboussées par des réalités moins florissantes. L’économie béninoise, très peu diversifiée, est essentiellement tournée vers l’agriculture. Elle représente environ 33 % du PIB et occupe près  de 60 pour cent de la population active. L’approche de l’initiative personnelle à la production vivrière très bien poussée  dans cette contrée subsaharienne auparavant ne tient plus ses promesses  où presque la quasi-totalité des acteurs du secteur sombrent dans le désespoir. A ce rythme, les paysans sont bien conscients que leur monde change de façon accélérée et maintes tentatives de "développement" ont été effectuées par le passé mais n’auraient porté ses fruits dans une mesure où  les problèmes n’ont pas été véritablement évacués à la base avant la mise en route de la machine agricole, un maillon essentiel du poumon économique Béninois. L’investissement local aujourd’hui est submergé par une forte croissance démographique et un climat complètement en bouleversement. Les premiers signes  de vulnérabilité alimentaire à laquelle est exposé le peuple dès 2008 est la cause d’imprévoyance dans la stratégie de renouveau agricole et rural élaborée par le régime en place dès sa prise de pourvoir : le plan prévoit uniquement le soutien d’achat des intrants et d’équipements agricoles et des bonifications aux prêts or les terres cultivable sont pratiquement inexistantes. La surface viabilisée et fertile ne représente qu’une infime partie du territoire. La révolution verte qui aurait sorti le Bénin de la pauvreté à l’échelle vertigineuse a basculé vers une insécurité alimentaire galopante pourtant 12% du budget national a été alloué pour le secteur soit environ 10,5 milliards  pour de petites exploitations agricoles variant en moyenne entre 0,5 ha dans la partie méridionale et 02 ha dans le septentrion. Dans la foulée de ces dispositions prises par le pourvoir exécutif, l’on note la recrudescence d’une situation hypothétique dont les méfaits proviennent  de la mauvaise gestion  du patrimoine écologique.  Viennent s’ajouter la désertification aussi élément destructeur et d’autres critères intrinsèques au développement agricole au Bénin qui handicaperont durablement la filière. Entre autre à mettre au crédit de la conjoncture, la pluviométrie adéquate encore non maitrisée et le foncier agricole affaibli l’investissement privé. La campagne agricole 2007-2008 révèle dans un bilan global au Bénin, selon des statistiques publiées par le Ministère de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche (MAEP). Les chiffres qui révèlent que les productions végétales donnent un taux de réalisation de 93,95% pour les céréales, 75% pour les racines et tubercules, 97% pour les légumineuses. Ces statistiques flagorneuses sont loin  des vrais indicateurs de développement quand on sait que l’état a unilatéralement subventionné la production agricole notamment le riz et le maïs  et fixé de nouveaux prix pour camoufler  la crise déjà à la porte. A l’analyse en se référant aux nouvelles estimations du gouvernement pour la période de 2009 à 2010, l’on comprend que les chiffres n’ont fait que grimper mais la chute est bien perceptible. Les céréales en général  ont connu une production de 19 pour cent au cours de la campagne 2009-​2010 avec un accent particulier sur le maïs et le riz dont les productions auraient augmentées respectivement de 23,2 pour cent et 37,7 pour cent. Dans ce groupe on trouve aussi l’ananas, le soja et le manioc 65 pour cent, 76,1 pour cent et 10,7 pour cent », a-​t-​il souligné le Ministre de l’Agriculture, Grégoire AKOFODJI. Le déficit  alimentaire est sans doute une problématique encore dévastatrice au Bénin. 37 %  environ de production agricole constitue le manque à gagner au titre de cette année et plus le taux de pauvreté s’alourdit dans le rang des paysans, encore sous le choc sans aucune perspective de sauvetage appropriée. Pour l’instant Le seul défi pour remettre les pendules à l’heure au profit de la modernisation et la régénération  de l’agriculture au Bénin reste l’aménagement hydro agricole et l’incitation au développement  des micros entreprises à la base.   

 

 

 

 

 

 

 

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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 23:40

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